Imvesta va lancer sa solution web d’accompagnement pour investisseurs immobiliers - Premium

Le nom de la société laisse rapidement comprendre sa mission : Imvesta. On lit presque « investissement », et en l'espèce, on parle d'un accompagnement à l’investissement immobilier. En coulisses, deux associés, incubés à Bidart sur la zone d’Izarbel, avec ESTIA Entreprendre. L’idée - ils l’ont eue l’année dernière - celle de créer une solution digitale pour aider les particuliers à réaliser un investissement immobilier en France. « On a choisi de développer un conseil virtuel intelligent, capable de les guider étape par étape dans tout le processus d'investisseur » précise Stefan Rigaux, président et cofondateur d’Imvesta. « Ensuite à chaque étape, les particuliers sont conseillés, formés, assistés avec des outils spécialement conçus pour les investisseurs immobiliers afin qu’ils puissent progresser dans la complexité que ça représente, et qu’ils concrétisent un projet adapté à leurs attentes et à leur budget ». Seuls les investissements locatifs sont pris en charge, et pas les résidences principales. « On a choisi de ne pas couvrir ce type d’investissement, parce que la valeur ajoutée serait moins forte », justifie le jeune chef d'entreprise, précisant que « quand on fait un investissement, il y a des logiques d'analyse financière, de fiscalité, de choix de locataire, d’astuce, ce qui n’est pas le cas pour de la résidence principale ou secondaire ». Concrètement, leur solution prend la forme d’une application web, qui détaille chacune des étapes d’un projet d’investissement. « En fait, on a découpé le processus d’investissement en une quinzaine de rubriques qui rassemblent plus de 100 étapes », détaille l’entrepreneur. Une première partie pédagogique, qui concentre des ressources pour « monter en compétences sur l’investissement de manière générale, sur l’immobilier puis l’investissement immobilier ». Imvesta accompagne aussi l’apprenti investisseur sur la réalisation de son budget, le choix de la zone, jusqu’à la visite des biens. L’application s’adaptera aux différents choix que fera l’utilisateur. « L'algorithme est auto adaptatif », poursuit-il. « De telle sorte que l’accompagnement soit le plus pertinent et adapté ». Concernant la recherche du bien, la solution mise sur la transparence et explique à nouveau les différentes manières de recherche. « On expose les avantages et inconvénients de chercher seul, avec agence ou chasseur d’appartement » précise Stefan Rigaux. En parallèle, la société planche sur un outil d’étude de marché immobilier et financière qu’elle veut étoffer ville par ville, au fil du temps. Les deux associés ont d'ores et déjà intégré un outil d’analyse financière poussée adapté à toutes les stratégies locatives et régimes fiscaux. « Si on choisit de faire de la location meublée pour étudiant, on pourra renseigner les charges, le loyer, les vacances locatives, le coût du mobilier, et on pourra à la fin comparer les régimes fiscaux pour choisir la meilleure stratégie », détaille l’entrepreneur. De quoi permettre d’identifier précisément le rendement potentiel de l’investissement, en prenant en compte tous les différents facteurs. Enfin l’application web entend aussi faire une aide à la décision que ce soit pour les types de bien à acheter, ou pour les choix de locataires.Un pricing découpé en quatre Une solution qui entend se distinguer de ce qui existe déjà sur le marché, à savoir de l’accompagnement sous la forme d’une prise en charge globale du projet par un tiers pour le compte d’un investisseur. « C’est une solution dix fois plus coûteuse que ce qu’on propose » souligne l’entrepreneur. « Nous, on est sur un outil capable de guider, accompagner le particulier sans tout faire à sa place, qui lui permet de monter en compétences et plus accessible financièrement ». En effet, le modèle économique est un peu atypique. Contrairement à des modèles de vente unique ou sur abonnement, Investa mise sur une formule hybride. « C’est un one shot, divisé en quatre shots, parce qu’on découpe l’accompagnement en quatre parties » précise Stefan Rigaux. Les premières étapes de documentation sont gratuites. « D’un point de vue stratégique pour inciter les utilisateurs à démarrer leur projet ». La seconde partie, facturée 400 euros, comprend la préparation de la recherche et la définition du marché. La troisième partie, sur la recherche jusqu’à l’achat du bien et le passage chez le notaire, sera facturée 1% du montant total du projet. Enfin, une dernière partie concernant la mise en location sur les travaux éventuels, la sélection des locataires sera facturée 600 euros. Pour s’assurer un revenu convenable par projet, la société impose un montant minimum de projet à 100.000 euros, qui au global lui permettrait d’engranger 2.000 euros via toutes ces étapes. « L’idée, c’est aussi de leur dire que plutôt que de payer d’un coup, ça leur permet d’y aller progressivement » justifie l'entrepreneur. Imvesta réfléchit dans un second temps à peut-être développer une solution de gestion pour les locataires « sous forme d’abonnement qui permettrait de conserver les clients ». La commercialisation de la solution est prévue pour courant mars. Les premières parties de la solution seront disponibles. En termes de public cible, Imvesta mise sur les 25-40 ans. La stratégie marketing est en cours de conception. Imvesta97 allée Théodore Monod, 64210 BidartSAS (Immobot) fondée en mai 2023Deux associésCA : /

Imvesta va lancer sa solution web d’accompagnement pour investisseurs immobiliers - Premium

RSE : Placéco lance ses Trophées Résolution en Nouvelle-Aquitaine

Placéco Pays Basque fête ses 2 ans avec un événement inédit ...

Maitena Goicoechea sera l’invitée du prochain Topaketa

Une conférence pour féminiser les métiers du numérique au Pays ...

La French Tech Pays basque et l’ESTIA renouvellent l’événement ...

Une journée d'ateliers débats au Pays basque pour fêter les

L'édition 2024 de la soirée « Industri'elles » se déroulera ...

Mélina Cherakrak (BAB2) sera l’invitée de notre prochain Topaketa

Digitéco #16 Pourquoi le numérique responsable est une priorité

Olaberria investit pour rénover son bâtiment à Ustaritz

Digitéco #15 E-commerce : Entre course à la rentabilité et attente de durabilité, le secteur doit-il faire le grand écart ?

« Les critères ESG seront de plus en plus prépondérants » Isabelle Ravail (Arkéa Banque)

« Le contexte du secteur des centres d'appel est très impacté par l'offshore »

Euralis : « de la pipette à la fourchette »

Léa Nature : « Préserver les valeurs de l'entreprise au-delà des personnes »