Le Bordeaux Atlantique Business Club déploie ses rendez-vous
Sébastien Barrier, manager du BABC ainsi que des clubs de Toulouse et de La Rochelle. Crédits : BABC
Autour de déjeuners où l’on peut choisir son voisin, le Bordeaux Atlantique Business Club (BABC) met en lien industriels, sous-traitants et prestataires.
Fondé en 2019, le club bordelais qui propose à ses adhérents des moments très cadrés dans le temps, veut asseoir sa présence en Gironde. Fort d’environ 140 adhérents, majoritairement des PME et ETI (entre 250 et 4 999 salariés), le Bordeaux Atlantique Business Club (BABC) positionne ses événements et rencontres clairement dans la mise en lien d’entreprises industrielles. Peu de membres sont des entreprises de services. Le club compte peu, voire pas du tout, d’indépendants, sauf s’ils présentent une vraie singularité de métier.
Le BABC organise chaque mois un déjeuner pour ses membres, soit dix par an, et l’une de ses caractéristiques est d’offrir à ceux qui le souhaitent de choisir à côté de qui ils seront placés à table. Une manière de pouvoir accéder à des personnes-clés pour de futures affaires. En outre, il ne saurait y avoir deux personnes d’un métier identique à la même table.
Sport et personnalités
Cette année, le BABC développera de nouveaux rendez-vous comme un tournoi de padel en partenariat avec Primerose fin avril, une compétition de golf en juin ou encore un after work avec l’ancien patron de Deezer, la plateforme française de musique. Le BABC organisera, comme à son habitude, un déjeuner au cloître des Cordeliers. « Nous bénéficions de la présence de personnalités sur nos événements grâce à notre réseau national, explique Sébastien Barrier, manager du BABC ainsi que des clubs de Toulouse et de La Rochelle. Nous invitons des personnes inspirantes mais aussi des découvertes, des élus, des représentants de l’Etat ou des responsables de syndicats d’entreprises. » Laure Bertholet-Dimortier est l’animatrice du réseau. Parmi les adhérents: Deloitte, Cassous, Spie, XPO Logitics...
L’objectif de ce club n’est pas, selon son manager, de grossir telle la grenouille de Jean de La Fontaine. mais de conserver une taille qui permette de se sentir entre soi. « On n’a pas besoin d’être 1.000 mais entre 150 et 170 personnes, comme à Lille par exemple. »
Contact : sbarrier@club-babc.fr