Cinéma d’animation (3/5) : Angoulême peut-elle faire une place à Bordeaux ? - Premium
Année après année, de plus en plus de tournages se déroulent en Nouvelle-Aquitaine. Une volonté politique, d’abord, mais aussi un investissement des professionnels sur le terrain. Placéco est allé à la rencontre de plusieurs d’entre eux, pour comprendre le poids de cette filière cinéma, ses forces, mais aussi les enjeux auxquels elle se confronte. Une série à retrouver toute la semaine.
Angoulême compte 150 entreprises de la filière Image, comme le studio Superprod. Crédits : Superprod JD Guillou
En Nouvelle-Aquitaine comme à l’international, la ville d’Angoulême et son pôle Magelis n’ont plus rien à prouver en matière de films d’animation. Avec des millions d’euros de retombées économiques, la filière se porte au beau fixe… au risque que d’autres villes, comme sa voisine bordelaise, peinent à attirer des studios ?
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Sommaire
Animation, décors naturels, virage éco-responsable (1/5) : la Nouvelle-Aquitaine fait son cinéma
Année après année, de plus en plus de tournages se déroulent en Nouvelle-Aquitaine. Une volonté politique, d’abord, mais aussi un investissement des professionnels sur le terrain. Placéco est allé à la rencontre de plusieurs d’entre eux, pour comprendre le poids de cette filière cinéma, ses forces, mais aussi les enjeux auxquels elle se confronte. Une série à retrouver toute la semaine.
Tournages en Nouvelle-Aquitaine (2/5) : « Un euro investi, c’est entre 7 et 12 euros pour le territoire »
Avec le deuxième fonds de soutien de France, la Région Nouvelle-Aquitaine et ses partenaires poussent, depuis longtemps, pour développer la filière cinéma et audiovisuelle. Quels sont ses atouts, ses singularités et surtout ses retombées économiques ? Éléments de réponse avec Charline Claveau, vice-présidente du Conseil régional chargée de la culture.
Cinéma d’animation (3/5) : Angoulême peut-elle faire une place à Bordeaux ?
En Nouvelle-Aquitaine comme à l’international, la ville d’Angoulême et son pôle Magelis n’ont plus rien à prouver en matière de films d’animation. Avec des millions d’euros de retombées économiques, la filière se porte au beau fixe… au risque que d’autres villes, comme sa voisine bordelaise, peinent à attirer des studios ?
Cinéma (4/5) : dans les Landes ou en Dordogne, la faible densification est un atout de taille
Loin des grands centres urbains dans lesquels les sociétés de production implantent leurs bureaux, les territoires moins denses tels que les Landes font de cette caractéristique une force. Et se construisent, eux aussi, autour de la filière cinéma.
Cinéma (5/5) : un virage éco-responsable à prendre coûte que coûte
Très émetteur de gaz à effet de serre, le secteur du cinéma et de l’audiovisuel n’échappe plus la nécessité d’enclencher sa transition environnementale. Une nécessité, au risque de ne plus être soutenus financièrement, pour les professionnels récalcitrants.